

Je vous souhaite la bienvenue sur la page Les FRANJYNES, Une alternative à la perruque médicale.

Mon histoire
A seulement 28 ans, on m’a diagnostiqué un cancer du sein. Une annonce brutale, bien sûr, mais grâce à mon caractere j’ai traversé cette épreuve avec force et, étonnamment, même avec une certaine douceur.
Comme beaucoup de femmes sous chimiothérapie, j’ai perdu la totalité de mes cheveux. Et en tant que coiffeuse, c’était pour moi essentiel de préserver une image soignée, élégante, mais surtout de continuer à me sentir féminine.
Avant la chute, j’ai testé plusieurs perruques. Elles étaient belles, de qualité… mais je ne m’y retrouvais pas. J’avais l’impression de porter un casque. Ce n’était pas moi. Ce n’était pas mon reflet.
J’ai connu quelques jours de panique… jusqu’à ce que je découvre Les Franjynes. Ce concept, totalement inconnu dans ma région, tout à changé. J’ai pu trouver une alternative douce, stylée, confortable, et surtout fidèle à mon identité. Une solution qui m’a permis de me sentir bien, même sans cheveux.
La chute capillaire, c’est un cap difficile. C’est bouleversant, car on ne s’y prépare jamais. Mais avec le recul, je peux dire que j’ai vécu cette période avec une légèreté inattendue. Moins d’entretien, toujours bien coiffée, et même la possibilité de changer de style selon mon humeur du jour.
Ce que je retiens, c’est que je me sentais bien dans ma peau. Et surtout, les gens autour de moi n’ont jamais soupçonné que j’étais chauve sous ces franges et ces bonnets.
Aujourd’hui, j’ai l’envie de transmettre mon expérience, et de permettre à d’autres femmes de vivre cette étape le plus sereinement possible. J’ai à cœur de vous accompagner avec bienveillance tout au long de ce processus.




Ma perte de cheveux
Lors de l’annonce d’un cancer, le monde s’écroule. On espère que ce n’est qu’un cauchemar, qu’on va se réveiller… mais les rendez-vous s’enchaînent à une vitesse folle, et on n’a même pas le temps de souffler.
Je vous partage ici mon vécu, qui sera peut-être différent du vôtre. Pour moi, la perte de cheveux est arrivée environ un mois après la première chimiothérapie. On m’avait prévenue dès le départ : avec ce type de traitement, même les casques réfrigérants ne permettrai pas la survie de ma chevelur
Juste avant la chute, j’ai ressenti de fortes douleurs au cuir chevelu, difficiles à décrire, mais bien réelles. Moi qui espérais ne pas perdre mes cheveux, j’ai compris à ce moment-là que quelque chose était en train de changer.


Notre
histoire



Tout à commencer un samedi
La chute c'est fait ressentir un samedi et le mardi suivant j'enlevais tout , je voulais garder mes cheveux et donc pour cela je devais garder de la quantité.
J'ai imaginer ce moment en étant le pire de ma vie, fort heureusement j'ai été entourer de mes 2 meilleures copines.
Nous avons bu un coup et nous avons ris je garde un souvenir mémorable de cette soirée qui est marqué dans le marbre à jamais je suis ultra reconnaissante d'avoir vécu ça en leur présence
<3
Le salon de coiffure
Dans un espace doux et rassurant, nous prendrons le temps ensemble de découvrir les compléments capillaires et accessoires qui vous correspondent.
Je serai là pour vous accompagner, répondre à vos questions, et vous offrir un moment d’écoute et de confiance.
Le salon est aussi un lieu où vous pouvez venir vous déposer émotionnellement, y compris pour le rasage des cheveux, entourée de vos proches si vous le souhaitez.


LE MOT DE LA CRÉATRICE
Coucou, moi c’est Julie et je suis la créatrice des FRANJYNES, une alternative à la perruque. (ou un complément si vous souhaitez de temps en temps changer de coiffure sans abîmer votre perruque)
LES FRANJYNES ce sont des prothèses capillaires partielles : de jolies franges pour le front et ou pour la nuque de 14 couleurs différentes du raide au bouclé disposant de 2 systèmes brevetés garantissant, un parfait maintien anti-glisse, qui s'ajuste à tous les tours de têtes avec ou sans cheveux.
Le tout toujours accompagné de son accessoire textile de la marque ou de votre choix; turban, bonnet, chapeau, casquette, car l’un ne va pas sans l’autre. Ce sont des frangins… enfin des FRANJYNES ;)
D’où me vient cette idée ? En deux mots, il y a 7 ans, à l’âge de 27 ans, j’ai eu un cancer du sein de grade III très agressif et je suis resté chauve pendant 18 mois. Oui, je sais… j’avais presque autant de chance qu’une météorite me tombe sur la tête !
Je ne supportais pas les perruques et la sensation de me coiffer me manquait. J’ai donc commencé à nouer des turbans sur ma tête : retrouvant la sensation de me coiffer, cela a eu un vrai effet,thérapeutique sur moi ! On ne me regardait plus parce que j’étais malade ni parce que je souffrais d’alopécie à cause des traitements de chimiothérapie mais parce que j'étais lookée :)
Plus qu’une alternative à la perruque, LES FRANJYNES ce sont avant tout, les sœurs de combat. C’est aussi une communauté avec beaucoup d’entraide, de conseils avisés et de partages.
Parce que mon rêve, c'est de rebooster le moral de toutes les personnes qui traversent une maladie mettant à mal l’estime de soi. Le moral, il est essentiel pour affronter les traitements qui eux sont essentiels à la guérison. Avec pour objectif, que vous retrouviez le sourire, et que vous fassiez de cette parenthèse désenchantée et de cette différence votre plus grande force !
Avec toutes mes forces et good vibes de sœur de combat.